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Après ces quelques jours difficiles et très chargés, je me replonge avec enthousiasme dans mes recherches et lectures concernant le BIEN VIEILLIR.

Dans la newsletter de Santé Nature Innovation, un article aborde le recul des frontières de la vie qui n'est plus une utopie mais qui devient une réalité.

Comme il est fait mention du Pycnogenol® qui est mon fer de lance pour lutter contre le stress oxydatif, je partage avec vous ce papier.

 
Les agents antivieillissements pour durer longtemps !

« Je crois que la première personne qui atteindra mille ans est aujourd’hui sexagénaire », disait le chercheur anglais Aubrey De Grey il y a déjà dix ans, en 2004 [1].

Cela semblait fou. Mais cet étrange discours s'est aujourd'hui répandu dans les médias.

Dans le journal Le Monde du 3 juin 2013, le médecin fondateur du site Doctissimo reprenait cette promesse :

Ce qui n'est pas si absurde

Des nutriments ciblés pour ralentir tous les processus de vieillissement

Cela paraît compliqué mais il existe en effet de nombreux produits dans notre alimentation naturelle qui, de façon ciblée, détoxifient l'organisme, détruisent les radicaux libres, régénèrent les mitochondries, protègent les cellules, luttent contre l'inflammation et la glycation. Certains sont extrêmement puissants ! 

Le laboratoire Cell'Innov a réuni plusieurs d'entre eux dans un seul produit de complémentation nutritionnelle. 

Il contient de l'extrait d'écorce de pin – un nutriment bien connu sous sa forme brevetée appelée « Pycnogénol® » – contre l'inflammation, du CoQ10, qui est un des meilleurs antioxydants, intervenant dans la production d'énergie mitochondriale, de l'apigénine, un puissant nutriment anticancer, de labêta-alanine efficace contre la glycation, et de l'huperzine A pour la protection des neurones. 

C'est donc un quintuple blindage contre le vieillissement, une armure de protection à 5 couches contre le vieillissement qui vous grignote jour après jour, année après année, de la surface de votre peau au plus profond de vos cellules, de la pointe de vos pieds au sommet de votre crâne. 

Combien d'années de vie en bonne santé allez-vous gagner avec ce complément nutritionnel étonnant ? Pouvez-vous ainsi éviter à votre conjoint les graves maladies liées au vieillissement comme l'Alzheimer et le cancer ? 

Impossible de promettre quoi que ce soit, évidemment : nous ne sommes pas du tout dans le « transhumanisme » à la Google !! 

Néanmoins, quoi de plus logique, de plus évident même, que de protéger ses cellules,ses organes vitaux, le cerveau même, avec une combinaison de nutriments naturels dont le corps a de toutes façons besoin pour fonctionner normalement ? 

C'est la logique de ce complément alimentaire assez révolutionnaire et c'est pourquoi je me permets de vous en dire un peu plus sur tous ses composés, même si c'est un peu technique. 
 
Les agents antivieillissements pour durer longtemps !

Agent antivieillissement n°1 : l'extrait d'écorce de pin (Pycnogénol®)

Le Pycnognéol® est un extrait breveté bien connu d'écorce de pin. 

C'est un « homme-orchestre », capable à lui tout seul de protéger les articulations, la rétine [8] et la peau contre les dégâts causés par les UV (rides) [9]. 

Son mécanisme d'action est le suivant : il neutralise le facteur NF-kB, responsable de la mobilisation des médiateurs pro-inflammatoires en cas d'arthrose ainsi que les enzymes métalloprotéinases matricielles (MMP) responsables de la dégradation du collagène des cartilages [10], les gènes des Cox-2 et Lox-5 (5-lipooxygénase), deux enzymes associées à un grand nombre de maladies inflammatoires [11], et les protéines C-réactives (CRP) qui sont des marqueurs inflammatoires [12]. Il contient également une combinaison naturelle d'antioxydants (procyanidines, bioflavonoïdes) et d'acides organiques. 

Ainsi la prise de Pycnogénol® réduit de façon drastique le niveau d'inflammation dans l'organisme. Mais en même temps, c'est comme si vous envoyiez des légions de molécules antioxydantes dans votre corps pour supprimer les radicaux libres néfastes. 

Rappelons que les radicaux libres sont responsables de plus de 100 troubles et maladies liés à l'âge, comme les rides, la cataracte, l'emphysème, Parkinson et le cancer.
 

Agent antivieillissement n°2 : la Coenzyme Q10

La CoQ10 est réellement une substance extraordinaire. Sa découverte a valu le prix Nobel au chercheur anglais Peter Mitchell, en 1978. 

C'est aussi un puissant antioxydant, mais son intérêt principal ici est de rejoindre les mitochondries où il joue le rôle d'étincelle pour déclencher la production d'énergie cellulaire. 

Les mitochondries sont les usines à électricité de nos cellules. Lorsqu'elles ralentissent ou cessent de fonctionner, de nombreuses maladies peuvent se déclencher : insuffisance cardiaque, fatigue chronique, maladie d'Alzheimer, diabète, maladie de Parkinson. Cela peut aussi provoquer vieillissement, fonte musculaire et obésité. Les alimenter en CoQ10 par la complémentation nutritionnelle est un moyen important de prévention. 

Tous nos organes vitaux, et en particulier notre cœur et notre cerveau, ont besoin d'un apport continu de CoQ10 pour fonctionner. Mais c'est aussi le cas pour l'ensemble des 10 000 milliards de cellules que vous avez dans votre corps. 

Quand vous êtes jeune, en bonne santé et plein de vie, votre foie fabrique suffisamment de CoQ10 pour fournir la puissance nécessaire à votre cœur, vos poumons, vos muscles, et pour contrer les radicaux libres. L'énergie et la protection de vos organes vitaux (cœur et cerveau), de votre peau, de vos cheveux et de vos yeux sont assurées. 

Le problème survient quand le vieillissement, les problèmes de santé, la prise de médicaments et une mauvaise alimentation diminuent la production naturelle de CoQ10 dans votre corps. 

À votre 50e anniversaire, vous produisez 25 % de CoQ10 en moins qu'à 20 ans, ce qui peut expliquer pour une grande partie les symptômes du vieillissement (à 80 ans, la diminution peut atteindre 65 %). Des problèmes de mémoire et des maladies cardiaques (ischémies) peuvent alors apparaître. 

Le manque de CoQ10 a été lié à de si nombreuses maladies qu'il est impossible de toutes les citer : cancer, maladies cardiovasculaires, Alzheimer, problèmes de prostate, Parkinson, migraines, dégénérescence maculaire liée à l'âge, etc. 

Les bénéfices les mieux documentés sur la CoQ10 concernent la santé cardiovasculaire : les auteurs d'une méta-analyse publiée en 2006 se sont penchés sur 11 essais cliniques (319 sujets en tout), et ont conclu à l'effet bénéfique de la CoQ10 sur les patients souffrant d'insuffisance cardiaque congestive [13]. 

Les résultats d'essais cliniques préliminaires et d'études de cas indiquent que la CoQ10 pourrait prévenir les récidives et l'apparition de l'athérosclérose chez les personnes ayant subi un infarctus du myocarde [14]. 

Enfin, d'après le Dr Peter Langsjoen, spécialiste mondialement reconnu de cette molécule naturelle, la CoQ10 est « entièrement sûre, sans aucune toxicité, selon plus de 100 études publiées ». 
Les agents antivieillissements pour durer longtemps !

Agent antivieillissement n°3 : la bêta-alanine

Un phénomène de vieillissement très largement ignoré du grand public et pourtant fondamental est la glycation. 

Plus vous avez de sucre dans le sang, plus la glycation est importante et plus vous vieillissez. Les effets secondaires catastrophiques du diabète sur les artères sont provoqués par la glycation : le sucre dans le sang détruit les capillaires (petits vaisseaux sanguins), empêchant l'irrigation des organes, qui meurent. D'où les personnes diabétiques qui deviennent aveugles, et dont les orteils ou pieds « pourrissent » et doivent être amputés (le diabète est la première cause d'amputation en temps de paix). 

À l'échelle microscopique, la glycation s'apparente à une sorte de « caramélisation » de vos organes. 

Prenez le cas de votre peau par exemple. Avec le temps, les molécules de sucre de votre sang viennent se lier aux protéines situées dans votre derme. Vos fibres de collagène et d'élastine deviennent rigides, puis cassent sous l'effet de la glycation. Ces cassures entraînent des rides, un relâchement de l'épiderme, une sécheresse cutanée et des difficultés de plus en plus grandes à cicatriser. 

Le même phénomène a lieu au niveau des artères, qui deviennent rigides, des cellules des reins, ou de la cataracte. Après plusieurs dizaines d'années, la glycation de vos tissus est suffisamment forte pour commencer à devenir visible et même gênante car potentiellement cause de maladies graves (artériosclérose, insuffisance rénale, rétinopathie diabétique, cataracte). 

D'où l'importance cruciale de lutter contre la glycation pour ralentir le vieillissement à tous ces niveaux. 

C'est là que la bêta-alanine est intéressante. C'est un acide aminé qui exerce une action antiglycation prouvée scientifiquement. Lorsque vous l'ingérez, la bêta-alanine se transforme en carnosine, qui empêche la formation de « produits de glycation avancés » (AGE pour Advanced Glycosylation End-product) [15]. 

De plus, la carnosine se lie à des groupes carbonyles potentiellement dangereux qui attaquent des protéines enfoncées dans la membrane cellulaire, se lient à elles et les neutralisent. 

La carnosine ne fait pas qu'empêcher la glycation, elle élimine aussi les « produits de glycation avancée » qui se sont précédemment créés, restaurant ainsi un fonctionnement normal de la membrane cellulaire [16]. 

Si vous mangez régulièrement de la viande, vous consommez déjà sans le savoir de la carnosine. Mais deux faits très simples expliquent pourquoi elle n'exerce pas cet effet anti-âge de façon visible. 

Premièrement, votre apport maximum journalier par voie alimentaire est de 25 à 50 mg, alors que les effets cités ci-dessus ne s'observent qu'à partir de 1500 mg. 

Ensuite, vous avez dans votre tube digestif une « enzyme », c'est-à-dire une substance qui détruit la carnosine. Cette enzyme s'appelle la carnosinase. 

Pour observer les effets anti-âge présentés ci-dessus, il est donc nécessaire de privilégier, sous forme de complément alimentaire, un apport massif en bêta-alanine, comme c'est le cas de la formulation anti-âge de Cell'innov. 
 

Agent antivieillissement n°4 : l'apigénine

Si vous vous intéressez à la nutrition, vous savez sans doute que le régime méditerranéen, riche en fruits, légumes frais et acides gras monosaturés, est associé à une faible prévalence de l'hypertension, de l'obésité, du cancer et du diabète. Certaines études ont même établi qu'il réduit le risque cardiovasculaire jusqu'à 30 % [17]. 

Pour expliquer l'action du régime méditerranéen au cœur de nos cellules, des chercheurs de l'Université de l'Ohio se sont penchés sur une molécule particulièrement présente dans ce type d'alimentation : l'apigénine, un composé naturel anticancer très puissant. 

Au cours de cette étude, les chercheurs ont montré que l'apigénine s'associe à la hnRNPA2, une protéine particulièrement importante dans la progression des cancers [18]. 

L'apigénine est une substance de la famille des flavones. Elle est présente dans le persil, le céleri, la tisane à la camomille et de nombreux fruits et légumes. Dans les études épidémiologiques, la consommation de flavones est associée à un risque réduit de cancers du sein, de l'appareil digestif, de la peau, de la prostate et de cancers hématologiques. En plus de leur activité anticancéreuse, les flavonoïdes ont des effets anti-allergiques, antimicrobiens, antiviraux et anti-inflammatoires. 

Privilégier une alimentation proche des principes du régime méditerranéen sera donc particulièrement bénéfique pour votre santé. Toutefois, des études portant sur la concentration d'apigénine réellement ingérée par l'organisme humain suggèrent qu'elle serait fortement variable selon la qualité des aliments et leur mode de consommation [19]. 

Il est donc plus facile et plus sûr de se supplémenter en apigénine à hauteur de 20 mg par jour, comme le préconisent les recherches menées sur les propriétés anticancer de l'apigénine. 
 

Agent antivieillissement n°5 : l'huperzine A

Le dernier nutriment anti-âge indispensable est l'huperzine A, un alcaloïde extrait d'une plante utilisée traditionnellement dans la médecine chinoise : l'Huperzia serrata

L'huperzine a été isolée pour la première fois en 1948 par des chercheurs chinois. À la suite de la publication de synthèses d'études effectuées en Chine sur l'huperzine, des chercheurs occidentaux ont conclu que cette substance présente un intérêt pour le traitement des troubles de la mémoire observés notamment dans la maladie d'Alzheimer [20]. 

En effet, cet alcaloïde peut traverser la barrière hémato-encéphalique et a donc la faculté rare d'atteindre le cerveau où il inhibe la production d'acétylcholinestérase. Lorsque cette enzyme est absente ou n'est présente qu'en faible quantité, le taux d'acétylcholine dans le cerveau augmente, ce qui renforcerait la mémoire et les fonctions cognitives selon plusieurs études : 
 
  • Au cours d'un essai à double-insu avec placebo mené durant 8 semaines auprès de 103 sujets souffrant de la maladie d'Alzheimer, l'administration de 200 µg d'huperzine (extrait hautement purifié tiré de la plante) 2 fois par jour a amélioré la mémoire, les facultés cognitives et le comportement des patients [21]. 
     
  • En 2002, on a obtenu des résultats semblables au cours d'une étude à double-insu avec placebo menée auprès de 202 sujets [22]. 
     
  • Il y a plus longtemps, un essai à double-insu a été mené en 1991 en Chine auprès de 160 personnes âgées souffrant de troubles de mémoire causés par l'âge, la démence sénile ou la démence vasculaire. 
     

L'huperzine A, administrée par injection intramusculaire, a été plus efficace que le placebo (solution saline) pour améliorer la mémoire des participants [23]. 

 

 

Sources : 

[1] Ces chercheurs qui préparent l’homme éternel 

[2] Vivre mille ans ? 

[3] Google vs. Death 

[4] L'arthrose, une maladie inflammatoire 

[5] L'artherosclerose : une maladie inflammatoire 

[6] La dépression, due à une inflammation ? 

[7] Inflammation in Alzheimer’s disease: insights from immunotherapy 

[8] Ueda T, Ueda T, Armstrong D, Preventive effect of natural and synthetic antioxidants on lipid peroxidation in the mammalian eye. Ophthalmic Res 28: 184-192, 1996 

[9] Kyriazi M, Yova D, Rallis M, Lima A, Cancer chemopreventive effects of Pinus maritima bark extract on ultraviolet radiation and ultraviolet radiation -7,12 dimethylbenz(a) anthracene induced skin carcinogenesis of hairless mice. Cancer Lett 237: 234-241, 2006 

[10] Grimm T, Chovanova Z, Muchova J, Sumegova K, Liptakova A, Durackova Z, Högger P, Inhibition of NF-kappaB activation and MMP-9 secretion by plasma of human volunteers after ingestion of maritime pine bark extract (Pycnogenol®). J Inflamm 3: 1-6, 2006 

[11] Canali R, Comitato R, Schonlau F, Virgili F, The anti-inflammatory pharmacology of Pycnogenol® in humans involves COX-2 and 5-LOX mRNA expression in leukocytes. Int Immunopharmacol 9: 1145-1149, 2009 

[12] Belcaro G, Cesarone MR, Errichi S, Zulli C, Errichi BM, Vinciguerra G, Ledda A, Di Renzo A, Stuard S, Dugall M, Pellegrini L, Gizzi G, Ippolito E, Ricci A, Cacchio M, Cipollone G, Ruffini I, Fano F, Hosoi M, Rohdewald P, Variations in C-reactive protein, plasma free radicals and fibrinogen values in patients with osteoarthritis treated with Pycnogenol®, Redox Rep 13: 271-276, 2008 

[13] « The impact of coenzyme Q10 on systolic function in patients with chronic heart failure. » Sander S, Coleman CI, et al. J Card Fail. 2006 Aug;12(6):464-72. 

[14] Singh RB, Neki NS, et al. « Effect of coenzyme Q10 on risk of atherosclerosis in patients with recent myocardial infarction. » Mol Cell Biochem. 2003 Apr;246(1-2):75-82.13. Singh RB, Wander GS, et al. « Randomized, double-blind placebo-controlled trial of coenzyme Q10 in patients with acute myocardial infarction. » Cardiovasc Drugs Ther. 1998 Sep;12(4):347-53. Kuklinski B, Weissenbacher E, Fahnrich A. « Coenzyme Q10 and antioxidants in acute myocardial infarction. » Mol Aspects Med. 1994;15 Suppl:s143-7 

[15] Hipkiss A.R., « Carnosine, a protective anti-aging peptide? », Int. Biochem. Cell. Biol., 1998, 30(8):863-8. 

[16] Hipkiss A.R. et al., « A possible new role for the anti-aging peptide carnosine », Cell. Mol. Life Sci., 2000, 57(5):747-53. 

[17] Estruch R, Ros E, Salas-Salvadó J et al. Primary Prevention of Cardiovascular Disease with a Mediterranean Diet. N Engl J Med. 2013 Feb 25. publié en ligne DOI : 10.1056/NEJMoa1200303 

[18] Arango D, Morohashi K, Yilmaz A, Kuramochi K, Parihar A, Brahimaj B, Grotewold E, Doseff AI. Molecular basis for the action of a dietary flavonoid revealed by the comprehensive identification of apigenin human targets. Proc Natl Acad Sci U S A. 22 mai 2013. 

[19] Ann Nutr Metab. 2006;50(3):167-72. Epub 2006 Jan 10. Bioavailability of apigenin from apiin-rich parsley in humans. Meyer H1, Bolarinwa A, Wolfram G, Linseisen J. 

[20] Zangara A. The psychopharmacology of huperzine A: an alkaloid with cognitive enhancing and neuroprotective properties of interest in the treatment of Alzheimer's disease.Pharmacol Biochem Behav. 2003 Jun;75(3):675-86. 

[21] Xu SS, Gao ZX, et al. Efficacy of tablet huperzine-A on memory, cognition, and behavior in Alzheimer's disease.Zhongguo Yao Li Xue Bao. 1995 Sep;16(5):391-5. 

[22] Zhang Z, Wang X, et al. [Clinical efficacy and safety of huperzine Alpha in treatment of mild to moderate Alzheimer disease, a placebo-controlled, double-blind, randomized trial] 

[23] Zhang RW, Tang XC, et al. [Drug evaluation of huperzine A in the treatment of senile memory disorders]. [Article en chinois, résumé en anglais]. Zhongguo Yao Li Xue Bao. 1991 May;12(3):250-2. 
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